Minor

"Le jeune Jean était en course pour le chef cuisinier du chateau. A 19 ans il était encore tout frêle, presque squelettique. Son statut ne lui donnait pas le droit a un nom de famille. Heureusement pour lui il était assez grand pour ne pas se faire embeter pas ses pairs. Cette nuit la, comme tant d'autres nuits, il croisa un de ses amis entouré de deux divines créatures. Seulement, sans un mot, cet ami lui sauta au cou et disparu sans aucune autre explication." Soupires "A cette époque les règles de la Camarilla n'étaient pas évidentes à faire respecter par tous. Il s'agissait d'un vampire vieux de 3 ou 4 jours que son maitre trouvait trop frivol pour recevoir ses enseignements. Le maitre eu vite vent de ce qui c'était passé. Mon rang actuel me permet de tout vous racionter sans danger, mais a l'époque c'était la mort assurée moi le maitre et moi. Il fit brûler son premier diciple et se décida à me garder pour ne pas éveiller les soupçons. Comme une malédiction, ce vampire a son tour décida qu'après tout ca je ne méritait pas de nom de famille. Depuis ce jour je suis connu de tous sous le nom de Minor, primogene aimé et respecté de tous les Tréméré.
Encore un fois j'étais la risée de tous. Mon maitre me disait qu'il s'agissait de ma premiere lecon que d'apprendre l'humilité. Finalement, je me suis vite décidé a parcourir le monde contre la volonté de mon maitre. Au début des temps sombres, je fus l'un des premiers a partir pour Kalimdor. Ce n'est que deux siecles plus tard que mon maitre m'y retrouva. Seulement il n'imaginait pas le pouvoir que j'avais développé pendant cette période. Lui qui venait me remettre sur le droit chemin, comme il disait, reparti pour Stormwind dans une urne. Je ne vais pas non plus vous faire un cours pour devenir primogène. Mais sachez que les lecons de mon maitre n'y furent pour rien.
Cela doit faire environ 800 ans que je n'ai pas vu la lumiere du jour. Ceci dit, elle ne me manque pas. Laissez moi garder mes valeurs et regarder le monde paisiblement assis dans mon fauteuil du XVe et vous n'aurai en aucun cas a craindre mon couroux. Bon, je suis las de vous parler, je vous laisse. A une prochaine fois surement. Si vous etes encore la."